L’oasis rit quand le désert pleure.
L’ île solaire bruisse de chaleur
La solitude est la charpente de la méditation.
Du haut de la montagne
J’ai la vue à perte de vie.
Sous les froids hivers,
Les fleurs d’une vie rêvent
Aux printemps des ans qui passent.
Le printemps est une mercerie
Qui ne vend
Que des boutons de fleurs.
Les fleurs de l ’été
Sont autant de baisers
Posés sur les lèvres du printemps.
L’automne apprend à voler
Aux feuilles de l’année
Pour qu’elles meurent doucement.
La neige qui tombe
Cache sous sa robe de vertu
La honte des hommes.
Le chat qui sommeille
Ne dort que d’une patte
Et d’un seul clin d’œil.
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